Dernière ligne droite
Allez, courage ! Plus qu'une pièce à peindre ! Il s'agit de la deuxième chambre qui a servi de bureau / atelier de couture / chambre d'amie ces trois dernières années.
Les vacances de fin d'année m'ont permis de commencer par la tâche la plus pénible, la réparation des murs :

En fait, ce n'est pas difficile en soi, il suffit de s'armer de patience (le tourtereau étant assez méticuleux, la remise en état des moulures, même si ce ne sont pas des moulures sculptées mais de simples baguettes de bois, demande de longues heures) et surtout d'accepter de vivre en symbiose avec la fine et donc insidieuse poussière de plâtre.
J'ai également arraché une partie des plinthes pour les remplacer. Si on met de côté l'achat de ces plinthes (une visite ratée au Castorama de Plaisir, une autre le lendemain à celui de Chambourcy, la coupe du bois étant « exceptionnellement » fermée pour ménage, puis finalement une dernière pour les acheter juste en bas de chez moi le surlendemain), leur pose ne devait causer aucun souci. Ne suffit-il pas de scier les planches et de les clouer au mur ? Devinez quoi :

Le bas de l'un des murs est dans un ciment tellement solide que les pauvres clous ont bien soufferts... J'ai passé une bonne partie de l'après-midi à faire des trous, poser des chevilles et visser péniblement les plinthes. Une ampoule plus tard (la première de l'année !), il ne restait plus qu'à coller quelques petits morceaux dans les coins mais je n'ai eu assez de colle que pour un seul d'entre eux...
Demain je retournerai au magasin de bricolage, histoire de bien terminer les vacances !
Les vacances de fin d'année m'ont permis de commencer par la tâche la plus pénible, la réparation des murs :

En fait, ce n'est pas difficile en soi, il suffit de s'armer de patience (le tourtereau étant assez méticuleux, la remise en état des moulures, même si ce ne sont pas des moulures sculptées mais de simples baguettes de bois, demande de longues heures) et surtout d'accepter de vivre en symbiose avec la fine et donc insidieuse poussière de plâtre.
J'ai également arraché une partie des plinthes pour les remplacer. Si on met de côté l'achat de ces plinthes (une visite ratée au Castorama de Plaisir, une autre le lendemain à celui de Chambourcy, la coupe du bois étant « exceptionnellement » fermée pour ménage, puis finalement une dernière pour les acheter juste en bas de chez moi le surlendemain), leur pose ne devait causer aucun souci. Ne suffit-il pas de scier les planches et de les clouer au mur ? Devinez quoi :

Le bas de l'un des murs est dans un ciment tellement solide que les pauvres clous ont bien soufferts... J'ai passé une bonne partie de l'après-midi à faire des trous, poser des chevilles et visser péniblement les plinthes. Une ampoule plus tard (la première de l'année !), il ne restait plus qu'à coller quelques petits morceaux dans les coins mais je n'ai eu assez de colle que pour un seul d'entre eux...
Demain je retournerai au magasin de bricolage, histoire de bien terminer les vacances !