Weekend limousin - Vestiges du passé
Les forêts corréziennes, du moins les quelques arpents que nous avons pû traverser durant notre séjour éclair, semblent bien arrosées. Là-bas, le moindre tronc jusqu'à la plus petite branche sont couverts de mousse. Difficile, en voyant cette photo (qui ne rend pas vraiment justice à la réalité), d'imaginer que cette région a été victime de la sécheresse l'été dernier :
Si la mousse recouvre ces arbres en pleine croissance, que dire des vestiges laissés par l'homme ? Plongez-vous avec nous dans un univers de contes, de lutins et de sorcières en parcourant ce sentier qui serpente dans la forêt :
On devine qu'il était jadis délimité par deux murets de pierre (les Français adorent construire des murets de pierre un peu partout dans les campagnes et les bois), aujourd'hui disloqués, à moins qu'ils n'aient toujours été ainsi bâtis, le sentier semblant par ailleurs assez bien entretenu. La question qui se pose naturellement est le pourquoi de ces deux murs ? Deux explications plausibles :
Cet ancien mur semble délimiter une construction d'environ deux mètres par deux mètres. Il ne reste que le bas de deux murs et pas même l'ombre d'un toit ou d'autres éléments. La présence d'une meurtrière, dans le mur qui fait face à la vallée (on la distingue à l'arrière-plan) nous fait pencher pour l'hypothèse d'un poste de garde, destiner à contrôler (ou du moins surveiller) les allées et venues dans le secteur.
Qui sait les récits que pourraient raconter les pierres si elles pouvaient parler...
Si la mousse recouvre ces arbres en pleine croissance, que dire des vestiges laissés par l'homme ? Plongez-vous avec nous dans un univers de contes, de lutins et de sorcières en parcourant ce sentier qui serpente dans la forêt :
On devine qu'il était jadis délimité par deux murets de pierre (les Français adorent construire des murets de pierre un peu partout dans les campagnes et les bois), aujourd'hui disloqués, à moins qu'ils n'aient toujours été ainsi bâtis, le sentier semblant par ailleurs assez bien entretenu. La question qui se pose naturellement est le pourquoi de ces deux murs ? Deux explications plausibles :
- Délimiter clairement les propriétés qui jouxtent le sentier (d'ailleurs il y a encore une cordelette tendue le long des arbres qui semble jouer ce rôle) histoire de bien faire sentir aux marcheurs qu'ils ne sont pas les bienvenus hors du sentier.
- Empêcher les chevaux de quitter le sentier pour aller gambader, ce dernier étant situé sur une crête de petites collines.
Cet ancien mur semble délimiter une construction d'environ deux mètres par deux mètres. Il ne reste que le bas de deux murs et pas même l'ombre d'un toit ou d'autres éléments. La présence d'une meurtrière, dans le mur qui fait face à la vallée (on la distingue à l'arrière-plan) nous fait pencher pour l'hypothèse d'un poste de garde, destiner à contrôler (ou du moins surveiller) les allées et venues dans le secteur.
Qui sait les récits que pourraient raconter les pierres si elles pouvaient parler...
